Comme on diagnostique un nombre beaucoup plus important de cas PPID qu’il y a dix ans, certaines personnes parlent d’effet de mode. Mais ce soupçon n’est pas justifié pour les raisons suivantes :
- Les signes cliniques du PPID (souvent appelée à tort « maladie de Cushing ») ne sont plus attribués – comme c’était le cas auparavant – au processus normal de vieillissement.
- Ces dernières années, le nombre de propriétaires désireux de surveiller et d’améliorer la santé de leurs vieux chevaux a considérablement augmenté.
- Les soins vétérinaires pour les chevaux âgés se sont également améliorés en conséquence.
- La science vétérinaire accorde de plus en plus d’attention au PPID et les résultats des recherches effectuées sur ce sujet sont aujourd’hui accessibles au grand public.
- Les méthodes de diagnostic se sont améliorées.